Image de couverture Amazon
Image provenant d'Amazon.com

Le Musée des bouts inutiles du corps : à la découverte de tes vestiges, défauts et autres bizarreries / Rachel Poliquin ; illustré par Clayton Hanmer ; traduit de l'anglais par Éric Fontaine.

Par : Collaborateur(s) : Type de matériel : Document textuelDocument textuelLangue : Français Langue d'origine : Anglais Éditeur : Montréal (Québec) : Québec Amérique, [2024]Date du droit d'auteur : ©2024Description : 79 pages : illustrations en couleur ; 27 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782764453063
Titres uniformes :
  • Museum of odd body leftovers. Français.
Œuvres reliées :
  • Traduction de : Poliquin, Rachel, 1975- Museum of odd body leftovers
Sujet(s) : Classification CDD :
  • J 612 P768m
Résumé : Dans le musée du corps, il y a une salle consacrée à son arbre généalogique, une à ses pieds de singe tout rapiécés, une à sa courte queue, une à ses doigts ridés, une à son magnifique rein fugitif... C'est ce que l'on découvre d'abord sur le plan affiché au début de cet ouvrage portant sur les "structures vestigiales", c'est-à-dire sur ces petits bouts fascinants qui étaient autrefois pratiques pour nos lointains ancêtres, mais dont on se questionne sur leur utilité de nos jours, alors que nous n'avons plus du tout le même mode de vie. Une dent de sagesse mène ainsi la visite guidée qui permet également de rencontrer d'autres espèces qui ont évolué en parallèle aux humains que nous sommes devenus et d'autres qui sont aujourd'hui éteintes, mais dont l'étude fournit des justificatifs à la chair de poule, aux poils, à l'appendice ou au hoquet. Le tour se termine d'ailleurs sur un glossaire et un index. [SDM]Critique : Sous la forme d'une exposition de curiosités, ce documentaire se sert des parties du corps qui se sont atrophiées ou métamorphosées avec l'évolution pour aborder différentes notions liées à la biologie. Si les exemples concrets utilisés s'exhibent dans les dessins naïfs relevés au pastel à la manière d'installations muséales, ils donnent également lieu à des textes très denses qui auraient bénéficié d'un peu plus de concision ou d'une structuration plus visuelle de l'information. La traduction peine aussi à rendre la voix de la dent de sagesse naturelle, notamment en usant d'une panoplie d'épithètes plus ou moins appropriées. Un sujet intéressant dont le traitement aurait quelque peu mérité d'être retravaillé. [SDM]
Mots-clés de cette bibliothèque : Aucuns mots-clés pour ce titre. Connectez-vous pour créer des mots-clés.
Évaluation
    Classement moyen: 0.0 (0 votes)
Exemplaires
Type de document Bibliothèque actuelle Cote Statut Code-barres
Documentaire jeunesse Documentaire jeunesse Bibliothèque municipale d'Henryville J 612 P768m (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 30001030048047

Dans le musée du corps, il y a une salle consacrée à son arbre généalogique, une à ses pieds de singe tout rapiécés, une à sa courte queue, une à ses doigts ridés, une à son magnifique rein fugitif... C'est ce que l'on découvre d'abord sur le plan affiché au début de cet ouvrage portant sur les "structures vestigiales", c'est-à-dire sur ces petits bouts fascinants qui étaient autrefois pratiques pour nos lointains ancêtres, mais dont on se questionne sur leur utilité de nos jours, alors que nous n'avons plus du tout le même mode de vie. Une dent de sagesse mène ainsi la visite guidée qui permet également de rencontrer d'autres espèces qui ont évolué en parallèle aux humains que nous sommes devenus et d'autres qui sont aujourd'hui éteintes, mais dont l'étude fournit des justificatifs à la chair de poule, aux poils, à l'appendice ou au hoquet. Le tour se termine d'ailleurs sur un glossaire et un index. [SDM]

Sous la forme d'une exposition de curiosités, ce documentaire se sert des parties du corps qui se sont atrophiées ou métamorphosées avec l'évolution pour aborder différentes notions liées à la biologie. Si les exemples concrets utilisés s'exhibent dans les dessins naïfs relevés au pastel à la manière d'installations muséales, ils donnent également lieu à des textes très denses qui auraient bénéficié d'un peu plus de concision ou d'une structuration plus visuelle de l'information. La traduction peine aussi à rendre la voix de la dent de sagesse naturelle, notamment en usant d'une panoplie d'épithètes plus ou moins appropriées. Un sujet intéressant dont le traitement aurait quelque peu mérité d'être retravaillé. [SDM]

Il n'y a pas de commentaires pour ce titre.

pour rédiger un commentaire.