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Lucie la mouffette qui pète sur la Lune / [texte de] Shallow et [illustrations de] Vannara.

Par : Collaborateur(s) : Type de matériel : Document textuelDocument textuelCollection : Je lis seul.eÉditeur : Montréal (Québec) : les Éditions de la Bagnole, [2022]Description : 343 pages : illustrations ; 21 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782897146443
Titre associé :
  • Le titre peut aussi se lire : Lucie, la mouffette qui pète 7
Sujet(s) : Classification CDD :
  • RJ S5281 Lmq v.7
Résumé : Sa fusée vient à peine de décoller que Lucie constate qu'elle a oublié la tablette électronique qui avait été programmée pour lui indiquer le chemin jusqu'à la Lune. En se repérant tant bien que mal avec les étoiles, elle réussit néanmoins à atterrir sans encombre dans un paysage gris et désertique qui la déçoit énormément. Après y avoir planté un drapeau, question de commémorer ce moment historique qui constitue "un petit pas pour une mouffette, mais un bond de géant pour l'humanité" (p. 70), l'héroïne décide de couper la communication avec le chef de mission resté sur Terre, en ayant plus qu'assez que ce dernier lui dise quoi faire. Elle ignore toutefois que la fusée a été programmée pour repartir dans trente minutes et manque ainsi le décollage, se retrouvant prisonnière d'un lieu hostile sur lequel une reine despotique règne en maître avec le concours des affreux Marmotors. Réussira-t-elle à s'échapper de la cage où on l'enferme et à libérer dans la foulée les pauvres Écureuyotors, créatures faites de métal et de boulons, que la souveraine projette de débrancher pour lui avoir témoigné de la gentillesse? [SDM]Critique : Septième opus d'une série ayant pour héroïne une mouffette que ses flatulences hors du commun ont rendue quelque peu vaniteuse. Cette vanité la poursuit d'ailleurs ici jusque dans ses rêves, où elle vit des aventures aussi épiques que rocambolesques avant de se réveiller et de retrouver la Terre dans un dénouement assez convenu. Les lecteurs attentifs ne manqueront toutefois pas de remarquer les indices disséminés ici et là quant à la nature onirique des péripéties vécues par Lucie, tel ce moment où elle rencontre la tyrannique souveraine, qui ressemble étrangement à son enseignante. L'auteur réussit par ailleurs à revisiter ce thème un peu éculé en intégrant un revirement inattendu et amusant au récit, la jeune mouffette étant bien décidée à retourner dans son rêve inachevé afin de libérer les Érureuyotors, tandis que ses frères et soeurs se plaignent de leur côté du fait qu'elle les empêche de dormir avec ses flatulences nauséabondes, ces dernières constituant bien sûr une arme dont elle ne peut se passer et qui ont des répercussions dans la vie réelle. Quelques clins d'oeil à la comptine ##Promenons-nous dans les bois## et à la conquête de la Lune, réalisée par les Américains à la fin des années 1960, pimentent par ailleurs ce récit, dont le dénouement rappelle que rêver est le plus beau des cadeaux. Une série divertissante, dont le texte en gros caractères est égayé de nombreuses et amusantes illustrations de type BD (souvent pleines pages et parfois sous forme de planches de quelques cases) dans lesquelles s'anime un bestiaire expressif des plus attachant, dont les dialogues sont reproduits dans des phylactères. Le tout dans une maquette égayée de petites empreintes de pattes. [SDM]
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Roman jeunesse Roman jeunesse Bibliothèque municipale d'Henryville RJ S5281 Lmq v.7 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 30001030059606

Sa fusée vient à peine de décoller que Lucie constate qu'elle a oublié la tablette électronique qui avait été programmée pour lui indiquer le chemin jusqu'à la Lune. En se repérant tant bien que mal avec les étoiles, elle réussit néanmoins à atterrir sans encombre dans un paysage gris et désertique qui la déçoit énormément. Après y avoir planté un drapeau, question de commémorer ce moment historique qui constitue "un petit pas pour une mouffette, mais un bond de géant pour l'humanité" (p. 70), l'héroïne décide de couper la communication avec le chef de mission resté sur Terre, en ayant plus qu'assez que ce dernier lui dise quoi faire. Elle ignore toutefois que la fusée a été programmée pour repartir dans trente minutes et manque ainsi le décollage, se retrouvant prisonnière d'un lieu hostile sur lequel une reine despotique règne en maître avec le concours des affreux Marmotors. Réussira-t-elle à s'échapper de la cage où on l'enferme et à libérer dans la foulée les pauvres Écureuyotors, créatures faites de métal et de boulons, que la souveraine projette de débrancher pour lui avoir témoigné de la gentillesse? [SDM]

Septième opus d'une série ayant pour héroïne une mouffette que ses flatulences hors du commun ont rendue quelque peu vaniteuse. Cette vanité la poursuit d'ailleurs ici jusque dans ses rêves, où elle vit des aventures aussi épiques que rocambolesques avant de se réveiller et de retrouver la Terre dans un dénouement assez convenu. Les lecteurs attentifs ne manqueront toutefois pas de remarquer les indices disséminés ici et là quant à la nature onirique des péripéties vécues par Lucie, tel ce moment où elle rencontre la tyrannique souveraine, qui ressemble étrangement à son enseignante. L'auteur réussit par ailleurs à revisiter ce thème un peu éculé en intégrant un revirement inattendu et amusant au récit, la jeune mouffette étant bien décidée à retourner dans son rêve inachevé afin de libérer les Érureuyotors, tandis que ses frères et soeurs se plaignent de leur côté du fait qu'elle les empêche de dormir avec ses flatulences nauséabondes, ces dernières constituant bien sûr une arme dont elle ne peut se passer et qui ont des répercussions dans la vie réelle. Quelques clins d'oeil à la comptine ##Promenons-nous dans les bois## et à la conquête de la Lune, réalisée par les Américains à la fin des années 1960, pimentent par ailleurs ce récit, dont le dénouement rappelle que rêver est le plus beau des cadeaux. Une série divertissante, dont le texte en gros caractères est égayé de nombreuses et amusantes illustrations de type BD (souvent pleines pages et parfois sous forme de planches de quelques cases) dans lesquelles s'anime un bestiaire expressif des plus attachant, dont les dialogues sont reproduits dans des phylactères. Le tout dans une maquette égayée de petites empreintes de pattes. [SDM]

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